En EPS, les élèves ont passé des tests qui leur permettent d’intégrer l’équipe des spationautes et de monter à bord de l’Argo 28 (nom du vaisseau qui accomplira le voyage vers Gaïa 5). Pour se distinguer, ils reçoivent des badges à placer sur leur vêtement et montent dans le vaisseau à leur appel. Il leur est indiqué que d’autres tests en EPS devront être accomplis, plus difficiles, pour réaliser leur voyage de retour vers la Terre. Le commandant de bord présente l’équipage.

En lien avec le travail effectué en français sur les récits de créations, le commandant rappelle brièvement les faits scientifiques de formation de la Terre et du système solaire. Les humains ont longtemps pensé être seuls dans l’espace, mais depuis que, dans les années 1990, on a découvert une première planète possédant des caractéristiques proches de celles de la Terre, il devient de plus en plus imaginable que des formes de vie existent ailleurs dans l’univers. A ce jour, plus de 400 planètes ont été découvertes qui présentent des similitudes avec la Terre. Gaïa est l’une d’elles.

« J’étais en train d’observer Gaïa, lorsque je reçus un message vidéo de madame Segond, l’ambassadrice de l’ONU, qui me demandait de vous le transmettre. »

Après diffusion du message vidéo de l’ambassadrice (disponible dans ce dossier), le commandant fait lecture de sa traduction. Les spationautes écrivent dans leur carnet de bord les questions auxquelles ils devront répondre au cours du trimestre :

Quelles sont les caractéristiques physiques à la surface de Gaïa 5 ?

Trouve-t-on de la vie sur Gaïa 5 ?

Son sol renferme-t-il des ressources qui pourraient nous être utiles ?

                  Comment pourrons-nous gérer nos déchets là-bas, s’il est possible d’y habiter ?